Un projet D'écriture : L’Automate aux Bleus Océans, un recueil poétique à venir.
À propos
J'ai souvent cherché un moyen de m’exprimer autrement que par les mots. Aujourd’hui, la peinture, la sculpture et l'écriture sont devenues mes langages favoris, un espace où je peux explorer et transmettre ce qui m’habite. Je m'appelle Ilona Paris, j'ai 23 ans, une licence en arts et design en poche, et depuis cinq ans, je peins pour donner vie à ces émotions et ces questions qui me semblent universelles : celles sur le corps, l’identité et la quête de soi.
Peindre, sculpter, écrire : des façons de dialoguer avec l’invisible.
Le rapport à la matière m’a toujours fascinée. Toucher, façonner, mélanger : c’est là que se cache, pour moi, une grande partie de la magie de l’art. Ces gestes, pourtant simples, permettent de raconter des choses complexes, de parler sans un mot, de créer des connexions invisibles entre l’œuvre et celle ou celui qui la regarde.
Ma vision
Mes œuvres naissent souvent de questionnements personnels, de réflexions sur le corps, ses fragilités, sa puissance, et sur l’identité, ces fragments de nous qui changent et se reconstruisent sans cesse. Ces thèmes, je les ai vécus, et c’est en les explorant que j’ai compris à quel point ils résonnent chez beaucoup d’entre nous. L'art est devenu pour moi un moyen de parler autrement, de me libérer et de me faire entendre. C'est ainsi que j'ai choisi de faire du silence une force, une voix qui parle à l’universel. Car à mon sens, créer, c’est partager, questionner, et bâtir des ponts entre ce que l’on ressent et ce que l’on ose montrer.
Mes ambitions
À travers mes créations, mon souhait est d’ouvrir un espace où chacune et chacun peut se retrouver, réfléchir et ressentir. J’aime l’idée que l’art puisse libérer, rassurer, ou simplement inviter à regarder le monde autrement. Peinture, sculpture ou écriture, chaque œuvre est une tentative de poser des questions sur nos rapports humains, sur ces liens qui nous façonnent et nous redéfinissent, mais aussi sur nos propres rapports à nous-mêmes, aussi difficiles soient-ils à partager parfois.
Ce qui me tient à cœur, c’est de faire grandir ce dialogue entre mes œuvres et celles et ceux qui les rencontrent.